Foire Aux Questions de fciwap / fr.comp.infosystemes.www.auteurs.php


ATTENTION


Ce document NE SERA PLUS MAINTENU à compter du mois de mars 2001.
Sa nouvelle version se trouve sur http://faqfclphp.free.fr/
Cette migration est liée à la confusion permanente induite par le login "johng" d'une part,
et la mise à disposition de PhpFaqTory pour la mise en forme et la gestion d'autre part.

De plus, depuis janvier 2002, le forum fr.comp.infosystemes.www.auteurs.php a été remplacé par le forum fr.comp.lang.php (modéré).


Ce document est donc laissé en ligne uniquement pour raisons d'archéologie de Usenet.





Cette FAQ reprend les questions posées régulièrement sur le newsgroup fr.comp.infosystemes.www.auteurs.php et est disponible en version zippée ici.
Mirroirs : sur http://www.phpindex.com/fciwap/ et http://fciwap.phpheaven.net/

Dernière mise à jour le 3 décembre 2000.

Les questions prises en compte dans cette FAQ sont celles directement liées à PHP, ainsi que quelques questions limite ou hors sujet revenant régulièrement sur le forum, indiquées par :

Présentation des réponses :

A chaque fois que possible, un lien direct vers les versions traduite et originale du manuel approprié sera fourni.

Tous les liens s'ouvriront dans une nouvelle fenêtre (pour les navigateurs qui le supportent).

Toute réponse mettant en jeu du code PHP sera accompagnée d'un exemple, testé par le rédateur de la réponse sauf mention contraire.
Le "l" (lettre L") devant une variable (exemple $l_dad) indique une variable locale à la fonction, ce qui est bien entendu seulement une convention de nommage.

Le terme "unix" n'est pas restreint à linux.

Premiers rédacteurs de cette FAQ

(Par ordre alphabétique)

Thierry André, thierry.andre@freesbee.fr, @lias Théo
Thomas Broyer, étudiant, ptittom@free.fr, http://programming.online.fr/, alias (TOM) ou ptittom aka M. RTFM
echoes@free.fr alias Echoes
Armel Fauveau, Webmaster PHPIndex, webmaster@phpindex.com
John Gallet, Ingénieur EFREI, john.gallet@wanadoo.fr, aka M. Off Topic


Remerciements :
- à François Boudot pour son script permettant l'indexation automatique.
- aux personnes nous ayant envoyé leurs remarques concernant ce document.

Bonne lecture et bon PHP.


Index des réponses :

Comment débuter en PHP

"Bienvenue chez les fous" :-) ((C)A.F. 1999)
PHP est un langage simple tant dans sa syntaxe que dans ses fonctions. Il faut connaître le HTML (ou l'apprendre en même temps). L'achat des ouvrages indiqués dans la section ressources (en bas de cette FAQ) est vivement conseillé. Installez PHP et MySQL ou Postgres sur votre ordinateur par exemple avec le package d'Emmanuel Faivre (windows) et testez vos scripts en local. Lisez ce document, apprenez à lire le manuel de PHP, à chercher un peu par vous même dans les multiples sites cités dans cette FAQ, et à poser vos questions au bon endroit : fciwap pour les questions liées à PHP, fr.comp.applications.sgbd (fcas) pour les questions sur le langage SQL ou la configuration de votre SGBDR (MySQL, Postgres, etc...) et fr.comp.infosystemes.www.auteurs (fciwa, sans le p de PHP) pour les questions HTML et Javascript, ainsi qu'au support technique (aide en ligne, forums réservés) de votre hébergeur. Partez du principe qu'il est probable que quelqu'un d'autre a déjà été confronté au même problème : si votre question n'est pas mentionnée dans cette FAQ, cherchez sur les archives de cd NG : sur http://www.phpindex.com/ng/ ou sur dejanews : http://www.deja.com/home_ps.shtml. En respectant ces règles simples, vous aurez plus rapidement la réponse à votre question.

[Retour à la liste des réponses]

Rappel de quelques notions de base

Bien que la plupart des questions traitées dans ce document concernent l'utilisation de PHP de concert avec une base de données, et dans la plupart des cas MySQL, il est faux et restrictif de penser que PHP nécessite un Système de Gestion de Base de Données Relationnel (SGBDR), et encore plus faux de penser que MySQL est "le" SGBDR incontournable avec PHP (on pourrait déjà discuter longtemps du qualificatif de SGBDR pour MySQL ...) : n'oublions pas Postgres, Oracle et Sybase pour ne citer qu'eux.
De même, la majeure partie des questions sur fciwap concernent l'utilisation de PHP couplé à un serveur web (Apache, IIS, PWS, Xitami, NES, etc...) mais PHP peut tout à fonctionner en tant qu'exécutable "stand-alone" : c'est une application à part entière.

HTTP : client serveur en mode asynchrone non connecté
Un script PHP utilisé pour générer dynamiquement une page web, comme un script ASP par exemple, s'exécute sur le serveur web qui reçoit une demande de la part d'un navigateur client. Le script PHP va faire certaines choses sur le serveur (mise à jour / interrogation de base de données, écriture dans des fichiers sur le serveur, consultation ou envoi de mail, etc...) puis va renvoyer au navigateur le résultat (HTML, PNG...) de ses actions. La page HTML qui revient vers le navigateur client n'a pas d'existence "physique", elle n'est pas ce que l'on appelle une page "statique", stockée sur le serveur (par FTP en général) et "servie", identique, au navigateur client à la demande. Néanmoins, en recevant le code HTML, le navigateur n'a pas moyen de savoir que c'est une page dynamique ou statique : le client ne sait rien de ce qui s'est passé sur le serveur où tourne PHP.
Remarque importante car à la source de nombreuses confusions :
En particulier, du JavaScript qui tourne sur cette page dans le navigateur client n'a aucun moyen de savoir que PHP en a généré une partie.
Ceci implique que PHP peut passer des arguments à du JavaScript (client), (en fait, on peut tout à fait faire du JS dynamiquement généré par du PHP), mais également que pour passer des arguments JS depuis le client vers PHP et donc le serveur, il faudra soumettre un formulaire.

Notons ici néanmoins que PHP peut ouvrir des connexions par sockets vers d'autres serveurs.

[Retour à la liste des réponses]

Quel hébergeur choisir avec PHP ?



Reportez vous au site abc-hébergement : http://www.abchebergement.com/


[Retour à la liste des réponses]

Des problèmes d'installation

Voici une liste de pointeurs pour l'installation de PHP avec différents serveurs web / SGBDR.

Avec windows :

[Retour à la liste des réponses]

Editeurs PHP

Cette liste est fournie pour le confort des yeux.
N'importe quel éditeur ASCII fait l'affaire.



[Retour à la liste des réponses]

Passage de variable(s) entre les scripts

[HS] La solution la plus courante et la plus simple consiste à transmettre les variables dans l'URL sous la forme normalisée.
http://mon_url.fr/mon_beau_script.php3?variable1=valeur1&variable2=valeur2&...&variableN=valeurN

Rappelons aussi l'emploi parfois judicieux d'urlencode ( ) et de rawurlencode( ) ainsi que la préférence de la méthode POST et non GET.
Si vous vous posez ce genre de questions, il est probable que vous aurez aussi d'autres questions de base sur le HTML et il est probable que créer quelques pages statiques avant de vous intéresser à la création de pages dynamiques serait plus logique, afin d'échelonner les difficultés. N'hésitez pas à user et abuser de la liste des ressources présente dans cette FAQ.

[Retour à la liste des réponses]

Passer des variables JavaScript à PHP

Lire le deuxième paragraphe de cette Foire Aux Questions : "Rappel de quelques notions de base".

[Retour à la liste des réponses]

Messages d'erreur classiques

...0 is not a valid mysql index on line...
La requête SQL a échoué et vous n'avez pas pensé qu'il faut toujours tester la valeur de retour d'une fonction aussi cruciale pour le résultat attendu qu'une requête sur BD, mysql_query( ) ici. Donc le premier appel au buffer de stockage du résultat, par mysql_fetch_*( ), provoque une erreur.
Pour trouver l'erreur dans votre requête SQL, affichez par un appel à echo "";ou print( ); la requête passée dans l'appel à mysql_query( ); et exécutez cette requête en ligne de commande dans MySQL.

...parse error on line 55...
Une error de parsing (en français dans le texte) est une erreur de syntaxe php. Une erreur déclarée sur la ligne N est très souvent causée sur la ligne N-1 sur cet exemple, la ligne 54.
L'erreur la plus courante est un oubli de ';' en fin de ligne...
Un autre grand classique est l'oubli de '\' devant des double-quotes ou l'oubli des double-quotes finales dans une chaîne de caractères.

On rencontre aussi une "parse error" en fin de fichier quand on oublie une accolade fermante } dans un bloc conditionnel. Typiquement, si votre fichier fait 204 lignes et que vous avez une "parse error" sur la 205eme, c'est un très probablement un problème d'accolades.


[Retour à la liste des réponses]

Code d'un forum ou BBS en PHP


Il existe des projets "tout prêts" et gratuits. Par exemple :


Si vous préférez faire le votre, un très bon exercice, inspirez vous de leur code (ce qui est du "hacking" au bon sens du terme).
Si vous possédez le livre de Leon Atkinson (cf en bas pour toutes ses références), voir le chapitre 16 pour un exemple.


[Retour à la liste des réponses]

Code d'un caddie virtuel en PHP



Intéressez vous au projet en Open Source d'Alexandre Trusch : http://www.w3-concept.net/
Et la démo de ce projet : http://demo.w3-concept.net/

[Retour à la liste des réponses]

Code d'un "chat" en PHP



Voir le travail de Nicolas Hoizey : phpMyChat sur http://www.phpHeaven.net/


[Retour à la liste des réponses]

Gérer plusieurs langues sur un site



Voir le travail de Nicolas Hoizey : phpLang sur http://www.phpHeaven.net/

Par ailleurs, il est possible de définir la même variable PHP, avec une valeur différente selon la langue simplement en se servant de fichiers à inclure.
Soit par exemple une gestion de trois langues: allemand (DE), anglais (EN), et français (FR). Le code de toute page PHP commencera par le code suivant :

$l_langue=fx_filtrer($i_langue);
/* On filtre toute variable arrivant du monde extérieur */
switch ($l_langue)
{
/* Profitons de la capacité de PHP à accepter des chaînes
de caractères dans les switch( ) */
case "FR" :	include("FR_mesg.php3");
		break;
case "EN" :	include("EN_mesg.php3");
		break;
case "DE" :	include("DE_mesg.php3");
		break;
default   :	print("Langue non reconnue <br>");
		fx_footer("parametres divers");
		exit();
/* N'oublions pas le cas par défaut qui permet de traiter TOUTES
les erreurs d'un seul coup */
}

Les fichiers contiendront une définition différente des mêmes variables / constantes :
Dans FR_mesg.php3 : define(msg1,"Bonjour");
Dans EN_mesg.php3 : define(msg1,"Hello");
Dans DE_mesg.php3 : define(msg1,"Gunten Tag");
Dans le code du script, il suffira d'afficher la constante msg1 sans réfléchir : la bonne langue sera automatiquement sélectionnée.
Il est bien entendu aussi possible de stocker des messages dans une table d'une base de données qui aura trois colonnes : l'identifiant du message (msg1,...msgn), la langue, et le texte, la clef primaire étant bien sûr le couple (identifiant, langue).

[Retour à la liste des réponses]

Connaître la version du navigateur et la résolution de l'écran

La variable globale HTTP_USER_AGENT contient la version du navigateur ayant demandé la page (ou celle qu'il a bien voulu donner par exemple dans le cas d'un "aspirateur").
La résolution de l'écran n'est pas transmise au serveur par le navigateur. Si vous souhaitez vraiment vous en servir, utilisez JavaScript.

Remarque : il n'est pas particulièrement conseillé de faire des versions différentes d'un site selon la configuration du client qui va le voir (version du navigateur, résolution de l'écran...), en particulier pour la maintenance du code. Pour plus d'informations sur ce débat qui n'a rien à voir avec PHP, reportez vous au newsgroup fr.comp.infosystemes.www.auteurs ou fciwa et en particulier à ses archives sur http://www.deja.com/home_ps.shtml

[Retour à la liste des réponses]

La différence entre include( ) et require ( )


Manuel pour include ( ) [en anglais] [en français]
Manuel pour require ( ) [en anglais] [en français]

include( ) comme require( ) permettent toutes les deux d'inclure un fichier dans un script php.

Une application pratique courante est de définir des fonctions dans un script qui sera appelé par include( ) ou require( ) pour rendre ces fonctions disponibles dans ce script.

L'instruction require ( ) est traitée avant l'exécution réelle du script, par le préprocesseur PHP.
Elle relève plus de la macro que de la fonction.

La fonction include( ) est appelée, si nécessaire, au cours de l'exécution du programme.

Par exemple :

if($toto)
  {
  include("fic1.php3");
  require("fic2.php3");
  }

Dans ce code, le fichier fic2.php3 sera TOUJOURS inclus dans le script courant. En revanche, fic1.php3 ne sera inclus QUE si le test sur $toto renvoie TRUE.

Si pour une raison quelconque vous voulez inclure un fichier juste après l'avoir généré dynamiquement, vous êtes donc obligé de passer par include ( );

Si vous tenez *vraiment* à faire des versions différentes de votre site selon le navigateur, ceci peut vous permettre de définir de deux manières différentes la même fonction PHP, en adaptant ce qu'elle doit faire aux spécificités d'IE ou NS ( sorte de couche d'abstraction), ainsi le code du corps de votre site reste indépendant de tout ça.


[Retour à la liste des réponses]

Les chemins pour include( ) et require ( )


Les deux fonctions ont le même comportement pour aller chercher le fichier à inclure. Si on fait un include("../titi.inc"); dans le fichier toto.php3, alors, le chemin de titi doit être relatif à toto.php3. Dans cet exemple, il se trouve un répertoire au dessus.


[HS] Chez la plupart des hébergeurs , php est configuré de manière à interdire l'include de fichiers d'un répertoire parent.


[Retour à la liste des réponses]

Des problèmes avec la fonction header( )

Pour tout appel à la fonction header( ), [en anglais] [en français] il ne doit en aucun cas y avoir un quelconque caractère retourné au navigateur avant son appel.
En particulier, faire la chasse à des espaces ou des retours à la ligne avant le tag d'ouverture <? du script php. De même, des problèmes ont été constatés lors de l'appel à une fonction qui faisait un return; vide dont le code de retour n'était pas traité dans la fonction appelante, un peu comme si la valeur retournée était parasite.

[Retour à la liste des réponses]

Mot de passe d'accès à un répertoire

La quasi totalité des hébergeurs proposent une interface graphique permettant de protéger l'accès à un répertoire par un couple (login / mot de passe).
[HS] Chez free.fr : http://support.free.fr/web/restriction_acces.html

Dans le cas où il vous faudrait faire ceci "à la main", une réponse sera rédigée en cas de demande. Il suffit en gros de faire un "man htpasswd"

[Retour à la liste des réponses]

[souvent HS] Problèmes de connexion à MySQL

Manuel de MySQL (FR): http://dev.nexen.net/docs/mysql/annotee/manuel_toc.php


Quelques messages d'erreurs rencontrés assez souvent et ce qu'ils peuvent cacher :

Message d'erreur du genre :
Fatal error : call to unsupported or undefined function mysql_connect() in [fichier].php3 on line [XXX]

ATTENTION : PHP4 possède un support natif de mysql, ceci n'est applicable QUE à PHP3.
Vérifier que dans le fichier php3.ini une ligne n'est pas encore commentée à tort.
Par exemple dans ce cas, sous windows, dans la section ;Windows Extensions il faut enlever le ; devant extension=php3_mysql.dll (mais donc laisser cette ligne commentée avec PHP4)

Message d'erreur du genre :
- ... Can't connect to mysql server on ...
[HS] Vérifier que le "démon" mysqld (ou mysqld-shareware) a bien été lancé en ligne de commande, par "c:\mysql\bin\mysqld.exe --standalone" sous windows 9x, en tant que service sous Windows NT (c'est le plus simple) et par "$MYSQL/bin/safe_mysqld &" sous unix (en standard $MYSQL vaudra /usr/local mais ceci dépend de votre installation).

Message d'erreur du genre :
... Access Denied for user [toto]@localhost ... [HS]
Si votre script tourne chez un hébergeur, contactez son support technique et lisez sa documentation interne.
Si vous avez la main sur le serveur MySQL, vérifiez les droits de connexion de ce [toto] en vous connectant, en ligne de commande, à MySQL en tant que user root, en faisant une fois connecté un select * from user where user='[toto]'; et regarder tout particulièrement la colonne Host.
Voir la section 6 du manuel [en anglais] [en français] de MySQL pour plus d'informations.

[Retour à la liste des réponses]

Exemple de fonction de connexion à MySQL

Cette fonction de connexion appelle une fonction fx_footer( ), que vous devrez définir vous même, avec des arguments qui vous conviennent, par exemple dans le cas où vous disposez d'un menu de navigation paramétrable. Sinon, un print("</BODY></HTML>"); fera l'affaire.
La terminologie DAD (Database Access Descriptor) est empruntée à Oracle.
Remarque : De manière générale, il vaut mieux forcer les valeurs par défaut à des valeurs que vous matrîsez.
function fx_std_connect( )
{
/* remplacer éventuellement localhost par le nom de serveur approprié.
Voir la doc de votre hébergeur. */
$l_dad=mysql_connect("localhost","votre_login","votre_password");
if ($l_dad != TRUE)
        {
        print("Connexion impossible.\n");
        include("std_footer.php3");
        fx_footer("parametre1","parametre2");
        exit();
        }
if(mysql_select_db("votre_base",$l_dad)!=TRUE)
        {
        print("Database inaccessible.\n");
        include("std_footer.php3");
        fx_footer("parametre3","parametre4");
        exit();
        }
return ($l_dad);
}
 
Pour chaque nouvelle connexion, appeler directement $DAD=fx_std_connect( );
Il va de soit que cette fonction doit être définie dans chaque script où elle est appelée, le plus simple étant de faire un include("std_connect.php3"); où std_connect.php3 est le fichier qui en contient sa définition.
Si le fait de mettre ainsi votre login et mot de passe en clair dans un fichier vous effraie, lisez dans cette FAQ la section appropriée : "La protection de mes mots de passe de connexion à une base".

[Retour à la liste des réponses]

La protection de mes mots de passe de connexion à une base


Il existe de nombreuses méthodes permettant de sécuriser les informations relatives à la connexion vers une base de données. Nous allons en présenter ici quelques unes. En premier lieu, précisons qu'il est pratique de placer ces informations dans un fichier et/ou une fonction. Cette approche, modulaire, permet de procéder à des modifications ultérieures avec souplesse (changement du mot de passe d'accès à la base, etc.).
Par exemple, dans le cas particulier de MySQL, un fichier regroupant ces informations pourrait ressembler à celui-ci :


$host="mon_host";
$user="mon_user";
$password="mon_password";
$acces_bd=mysql_connect($host, $user, $password);

** Première méthode de protection Cas où vous n'avez pas la maîtrise du serveur qui héberge vos scripts
Nommer ce fichier en prenant soin de lui attribuer l'extension .php3 ou .php pour PHP4. Par exemple, base.inc.php3. Par ce simple fait, si un utilisateur mal intentionné tente d'ouvrir ce fichier à l'aide d'un simple navigateur, ce fichier sera de toutes facons "parsé" (interprété) par PHP coté serveur. Et le navigateur ne renverra rien de visible au client.


** Deuxième méthode de protection Cas où vous avez la maîtrise du serveur qui héberge vos scripts
Rien ne vous empèche de placer le fichier contenant les informations de connexion à votre base, en dehors de l'arborescence du serveur HTTP. C'est une bonne approche. Un serveur HTTP dispose d'une racine en aval de laquelle vont être placés et interprétés vos scripts et vos pages. Mais en amont, non. Par exemple, sous Apache, la racine (DOCUMENT_ROOT) est souvent /usr/local/apache/htdocs. Les pages et autres scripts se trouvant en aval de cette racine sont potentiellement visible depuis un navigateur. Il n'en va pas de même de ceux qui se trouvent en amont. Vous pouvez donc judicieusement placer votre fichier sous /usr/local/etc par exemple.
Une autre technique consiste à récupérer le login et password depuis des variables shell unix par un getenv();


** Troisième méthode de protection Cas où vous disposez des droits d'administration de votre base
Une méthode trop souvent ignorée consiste tout simplement à paramétrer finement les droits d'accès à votre base. Notamment afin de n'autoriser des connexions que depuis la machine locale (localhost). De ce fait, même si un utilisateur mal intentionné dispose des informations de connexion (et dans le cas où il ne dispose pas d'accès sur la machine afin d'y déposer des scripts, bien évidement), il ne pourra pas accéder à la base. Reportez vous au manuel du sgbd que vous utilisez.

** Les autres méthodes Ajoutons qu'il est aussi possible de bricoler les fichiers de configuration des serveurs HTTP (type Apache) afin de demander au serveur de "parser" les fichiers .inc ou encore de jouer avec les droits d'accès à certains répertoires ou fichiers (par le biais des fichiers .htaccess par exemple), y compris dans des sous répertoires si l'hébergeur interdit de "remonter" dans l'arborescence.


[Retour à la liste des réponses]

Le parcours des tableaux (deux dimensions)

Réponse en cours de rédaction.
 

[Retour à la liste des réponses]

Le multitasking / exécutions parallèles (UNIX)

Si vous désirez lancer des scripts en parallèle et/ou en asynchrone (on les lance et on les oublie, on continue le script courant sans attendre qu'ils se terminent) vous pouvez utiliser les fonctions PHP exec(), passthru(), ou system().
Par exemple : exec(" nohup toto.sh & >mon_log.txt");
En revanche, il faudra analyser le résultat en disséquant ("parser") le fichier de log : ouvrir ce fichier avec fopen(); puis le lire ligne par ligne en cherchant des erreurs éventuelles, etc...

[Retour à la liste des réponses]

L'upload de fichiers

Remarque : il est inutile de stocker des fichiers complets dans une base de données, leur chemin suffit. Une exception néanmoins si le but est de faire du PHP dynamique avec eval() mais ce seront des "petits" fichiers.
En particulier, il est rigoureusement inutile de stocker des fichiers binaires comme des images dans une base de données.

A voir dans la doc : http://www.php.net/manual/features.file-upload.php [en anglais] ou http://www.php.net/manual/fr/features.file-upload.php [en français]
Prérequis dans le formulaire :
- le formulaire doit être en encodage (enctype) multipart/form-data et en méthode POST.
< form action="script.php3" enctype="multipart/form-data" method="POST" >
- un champ (en général caché) nommé MAX_FILE_SIZE dont la valeur sera la taille maximale acceptée pour les fichiers, exprimée en octets. Ce champ est facultatif.
<input type="hidden" name="MAX_FILE_SIZE" value="1000">
- un champ de type "file", le nom n'importe pas, appelé UploadedFile pour la suite.
<input type="file" name="UploadedFile" >
Gestion dans le script :
Le script recevant le formulaire va créer 4 variables :
- $UploadedFile qui contient le nom et chemin vers le fichier temporaire créé sur le serveur.
- $UFile_name : le nom du fichier tel qu'il est chez le client
- $UFile_size : la taille du fichier exprimée en octets
- $UFile_type : le type MIME du fichier
Si la taille du fichier envoyé était supérieur à MAX_FILE_SIZE, $UploadedFile contient "none" et $UFile_size est nulle, le fichier n'est pas accessible.

Reste donc simplement à déplacer ou copier le fichier temporaire dans un autre répertoire. Par exemple : $DOCUMENT_ROOT."/upfiles/".
Le répertoire cible doit être accessible en écriture. On peut le vérifier avec is_writeable($DOCUMENT_ROOT."/upfiles/")
http://www.php.net/manual/function.is-writeable.php3 [en anglais] ou http://www.php.net/manual/fr/function.is-writeable.php3 [en français]
Ensuite donc, on déplace : la fonction copy ( ) est utilisée car rename( ) ne fonctionne pas toujours en multivolumes.
     if (!copy($UploadedFile, $DOCUMENT_ROOT."/upfiles/".$UFile_name))
//http://www.php.net/manual/function.copy.php
//http://www.php.net/manual/fr/function.copy.php
print("Impossible de déplacer ".$UploadedFile." vers " .$DOCUMENT_ROOT."/upfiles/".$UFile_name." <br>\n");


Des problèmes ont été constatés avec le code ci-dessus sur windows.
Il semblerait que ceci soit à cause, au moins sous php3 (php4 ?) des settings de php3.ini
Merci à Alain CHABERNAUD (caribert@club-internet.fr) pour son php3.ini
Ici, php3 est installé sur le disque logique d:
Le fichier temporaire se trouve sous le répertoire racine, dans ce cas sous d:\
Il s'agit d'un fichier nommé php2, php3 etc, qui est automatiquement détruit dès la fin du script.
 
;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
; Paths and Directories ;
;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
include_path =   .;d:/php3; d:/php3/temp;c:/windows;d:/apache/server
doc_root  =    ; the root of the php pages, used only if nonempty
user_dir  =    ; the directory under which php opens the script using /~username, used only if nonempty
upload_tmp_dir =  d:/ ; temporary directory for HTTP uploaded files (will use system default if not specified)
upload_max_filesize = 2097152  ; 2 Meg default limit on file uploads
extension_dir = d:/php3    ; directory in which the loadable extensions (modules) reside

[Retour à la liste des réponses]

Gérer les sessions utilisateur

Trois solutions s'offrent à vous suivant vos besoins :
- coder votre propre gestion de session
- utiliser l'excellente PHPLib
- utiliser PHP4

Ressources :
Site officiel de la PHPLib
http://phplib.netuse.de/

NewsGroup dedié à la PHPLib
news://news.netimages.com/php3.phplib

Archives de la liste PHPLib du site PHPBuilder
http://www.geocrawler.com/lists/4/Web/195/0/

Pour gérer vous même vos sessions, il vous faut un générateur aléatoire d'identifiants, que vous transmettrez ensuite dans l'URL.
Deux grandes méthodes sont utilisées pour coder un générateur d'identifiants. La première consiste à se donner une liste de caractères autorisés et à "piocher" aléatoirement dans cette liste le nombre de fois voulu. La seconde repose sur le système d'exploitation et des "bidouilles" plus ou moins personnelles à chaque développeur, faisant appel à des concaténations de l'heure système et du PID du process courant par exemple.

[Retour à la liste des réponses]

Comptabiliser le nombre courant de personnes "connectées" sur le site

Disposant d'un identifiant unique par session, vous pouvez stocker ces identifiants dans une table d'un SGBD, avec une colonne de fonctionnalité "timestamp" qui permettra de savoir quand l'enregistrement a eu lieu (mis systématiquement à l'heure système). Vous pouvez alors sélectionner toutes les sessions différentes "actives" dans, mettons, les 3 dernières minutes : souvenons nous que HTTP sur TCP/IP est un protocole utilisé en mode non connecté, il n'y a personne qui soit connecté (au sens ouverture de session avec authentification et fermeture explicite de session) à votre serveur en regardant vos pages.
Vous pouvez aussi vous servir de telles tables pour "suivre à la trace" les visteurs par leur identifiant. Notez que l'adresse IP de votre visiteur n'est a priori pas un identifiant fiable.
Remarque : si vous ne stockez qu'un identifiant qui n'a aucun lien direct avec l'internaute que vous "pistez", vous n'êtes en rien en contradiction avec la CNIL.


[Retour à la liste des réponses]

Suivre ses visiteurs sur son site / l'adresse IP de vos visiteurs

La solution la plus simple consiste à utiliser des identifiants de session transmis d'une page à l'autre.

Les autres solutions côté serveur (à l'exclusion, donc, des cookies qui sont côté client) mettent en jeu plusieurs variables PHP :
Dans le cas où il n'y a pas de proxy(s) entre le client et le script php, $REMOTE_ADDR est l'adresse IP du client.
Dans le cas où il y a un (au moins) proxy, les variables $HTTP_X_COMING_FROM et $HTTP_VIA sont positionnées.

Attention donc, il n'est pas fiable d'utiliser $REMOTE_ADDR comme identifiant.

Si le problème vous intéresse, consultez la fonction GetIdentifier de Marc Meurrens : http://www.cgsa.net/php/?script=identifier

[Retour à la liste des réponses]

Remplacer les retours chariots dans une chaine

$chaine = ereg_replace("(\r|\n){1,2}", " ", $chaine);

[Retour à la liste des réponses]

Les expressions régulières

Sujet trop vaste pour être traité dans une FAQ de NG. Des exemples sont présents dans cette FAQ.

[Retour à la liste des réponses]

Tester la validité d'une adresse email

A titre d'exemple des regexp, on peut considérer le test ci dessous, permettant de juger assez grossièrement si la chaîne $email semble être une adresse valide.
$email=toto@coincoin.com;

if (ereg("^(.+)@(.+)\\.(.+)$",$email, $tableau)
	{...}
Pour une fonction beaucoup plus fine, utilisez le code proposé par Marc Meurrens en suivant ce lien : http://www.cgsa.net/php/?script=email


[Retour à la liste des réponses]

L'affichage de résultats de requêtes par tranches

Lorsqu'une requête SQL renvoie un grand nombre d'enregistrements, on choisit souvent de n'afficher qu'un sous-ensemble de ceux-ci et de proposer à l'utilisateur de naviguer entre plusieurs pages de réponses (à la façon des moteurs de recherche).

Pour cela, plusieurs solutions sont possibles pour afficher les réponse $deb à $fin (deux variables passées en paramètre dans l'URL).
Nous en présentons ici trois.
1) Faire une série de requêtes SQL classiques et traiter en retour :

Avantages :
Compatible avec toute les bases.
On peut connaitre facilement le nombre total de réponses avec mysql_num_rows()

Inconvénient :
cette méthode est sous-optimale en terme d'accès au sgbd et en post-traitement

     $res = mysql_query("select nom, prenom from personne where age=30");
     /* Boucler sur les résultats, en filtrant à l'affichage : */
     $i = 0;
     while ($a = mysql_fetch_row($res))
           {
           if (($i >= $deb) && ($i <= $fin))
           afficher_rang($a);
           $i++;
           }

2) Utiliser la clause LIMIT du select de MySql :

Avantage :
Utilisation optimale de MySql (et tout autre base acceptant un mécanisme semblable)

Inconvénients :
Non applicable à la plupart des sgbdr (qui n'acceptent pas cette notion de LIMIT)
On ne connait plus le nombre total de réponses. Pour l'obtenir il faut effectuer une requête supplémentaire lors avant la première tranche à afficher :
select count(*) from personne where age=30
 

     $query = "select nom, prenom from personne where age=30 LIMIT $deb ,$fin ";
     $res = mysql_query($query);
     while ($a = mysql_fetch_row($res))
           affiche_row($a);
/* Lien avec $deb et $fin2 en paramètre pour la page suivante */
   $fin2 = $fin-$deb +1;
   $deb=$fin2;
 
3) Utiliser une table temporaire / tampon :

Avantages :
Totalement compatible / portable quel que soit le sgbdr utilisé.
Compromis correct en utilisation des ressources.

Inconvénients :
Nécessite une table supplémentaire et un identifiant requête (ou session).
Remarque : la gestion des identifiants session est disponible dans cette FAQ.


Ci-dessous, les grandes lignes de la méthode. Un document plus détaillé est disponible donnant un exemple de moteur de recherche affichant ses résultats page par page.

1 - Créer une table fille, qui contient tout les champs de la table mère qu'on veut rendre disponible à la requête + 3 autres champs:
- une colonne id_session, contenant l'id de session du visiteur qui permettra d'identifier le résultat de la requête du visiteur, clef primaire de la table avec l'ordre_session.
- une colonne ordre_session qui sera incrémentée par chaque enregistrement d'une ligne de la requête sur la table mère.
- une colonne temp_session de type timestamp qui permettra de connaitre la date de création des lignes de la requête pour les purger le moment venu.

2.1 - On fait la requête sur la table mère. Avec le résultat on l'insère ligne par ligne dans la table fille, en n'oubliant pas de créer pour chaque ligne un champ ordre-session incrémenté de 1, et deux champs id_session et temp_session identiques pour toutes les lignes de cette requête. On peut ici limiter le nombre maximum d'enregistrements à présenter. On dispose alors du nombre total de lignes à afficher par tranches, $nombre_lignes.

2.2 - On purge la table des enregistrements dont le temp_session >= 20 minutes. (par exemple).

3 - On crée une variable borne_inferieure = 1. On crée ensuite une variable $borne_superieure = $borne_inferieure + $nombre_lignes;

En boucle pour chaque tranche :
4 - On fait une requête du style:
SELECT * FROM table_fille WHERE id_session='$id_visiteur'
AND ordre_session > $borne_inferieure AND ordre_session < $borne_superieure
ORDER BY ordre_session;
5 - On incrémente $borne_inferieure = $borne_superieure + 1; et $borne_superieure += $nombre_lignes;
(ou $borne_superieur=$nombre_lignes; si dépassement).

6 - On crée un lien contenant $id_session du visiteur,$borne_inferieure, $borne_superieure et $nombre_lignes. Retour acte - 5.
(sauf si $borne_inférieure >$nombre_lignes car dernière page)

[Retour à la liste des réponses]

Vérifier la présence d'un enregistrement avant de le mettre à jour


(La stratégie d'update / insert, limite hors sujet )
Pour vérifier la présence d'un enregistrement avant de le mettre à jour on peut procéder de la manière suivante :

  1. Faire un select dans la table appropriée.
  2. Tester le retour du nombre de rangs, par exemple grâce à mysql_num_rows ()
  3. Si l'enregistrement n'existe pas, alors on fait un insert.
    Sinon, on fait un update.

Une méthode plus rapide est la suivante :

Lancer l'update. Si le nombre de rangs mis à jour est égal à zéro, c'est que le rang n'existait pas dans la base.
Il n'y a plus qu'à l'insérer.

Comparaison du code des deux méthodes :

$result=mysql_query("SELECT * FROM ma_table WHERE ma_clef='$MA_VAR'");
$nbre_rangs=mysql_num_rows( $result);
if ($nbre_rangs == 1)
 {
 $modif=mysql_query("UPDATE ma_table SET colonne=colonne+1 WHERE ma_clef='$MA_VAR'");
if (!$modif)
   {
   return(FALSE);
   }
 }
else
 {
 $modif=mysql_query("INSERT INTO ma_table VALUES ('$MA_VAR',0)");
 if (!$modif)
    {
    return(FALSE);
    }
 }

Deuxième méthode :

/* $DAD = Database Access Descriptor, retour de mysql_connect() */
if (! mysql_query("UPDATE ma_table SET colonne=colonne+1 WHERE ma_clef='$MA_VAR'"),$DAD)
   {
   if(mysql_affected_rows($DAD)==0)
   		mysql_query("INSERT INTO ma_table VALUES ( '$MA_VAR', 0)",$DAD);
   }

Il est à noter que le code de la deuxième méthode, beaucoup plus compact et plus performant, est néanmoins plus permissif car il n'intègre pas de gestion des erreurs.


NB : dans le cas de MySQL intéressez vous à la commande REPLACE.

[Retour à la liste des réponses]

Générer des graphiques avec PHP

Il est possible d'afficher des statistiques sous forme de graphe avec PHP. Intéressez vous pour ceci à la GD LIB.
Il est à noter qu'à cause de problèmes de copyrights et de décalage entre PHP et la GD lib, vous pouvez avoir des problèmes de compilation.
GD Lib : http://www.boutell.com/gd/

Pour vous procurer d'anciennes versions de la GD Lib, avec support des GIFs :
http://rufus.w3.org/linux/RPM/GByName.html

Merci à Patrick Michelin (pmich@wanadoo.fr) pour ce lien.

Une bibliothèque qui s'appuie sur la GD LIB :
vh graph : www.vhconsultants.com

[Retour à la liste des réponses]

Lancer des commandes à intervalles réguliers ("crontab")

Commencez avant tout par vérifier si votre script doit être absolument lancé à une heure précise en rapport direct avec le temps newtonien. Ceci est en fait assez rare, et est en général lié à des traitements assez longs à exécuter de nuit.
Dans beaucoup de cas, vous pourrez vous passer de crontab. Considérons par exemple la purge de données obsolètes. "Tous les jours à minuit" est une approche, mais en fait, il suffit de purger avant la prise en compte ou l'affichage de ces données. Il suffit donc d'appeller un script de purge avant le traitement. On peut ensuite par exemple utiliser un fichier de configuration sur le serveur (un peu comme un cookie) ou tester l'heure courante par rapport à une plage horaire pour éviter de lancer la purge à chaque appel.
Dans certains cas, néanmoins, cette méthode n'est pas applicable. L'idéal est bien sûr alors d'avoir accès à une crontab.

Sinon, on peut faire appel à des services de sites qui appelleront votre script à l'heure voulue comme par exemple: http://www.witbe.net/

Il est également parfois possible de faire un "daemon" en PHP, grâce à une boucle infinie testant la présence d'un fichier par exemple, mais attention aux obstacles suivants :

[Retour à la liste des réponses]

Envoi d'un mail.

Utilisez ou disséquez la très bonne classe de gestion de Léo West, disponible sur http://lwest.free.fr/doc/php/lib/Mail/

[Retour à la liste des réponses]

Comportement bizarre : un bug PHP ?



Quand un script se comporte étrangement, la probabilité la plus forte est que c'est votre script qui se plante, ou que les permissions des fichiers que vous traitez sont mauvaises. Néanmoins, il y a des bugs (ou des "problèmes résiduels" ((C) A.F. 2000)...) aussi dans PHP, il peut donc être intéressant de les connaître, surtout si vous utilisez une version un peu ancienne de PHP.
La liste officielle des bugs déclarés est disponible sur le site de PHP : http://bugs.php.net/

Où poser des questions non directement liées à PHP

Certaines questions sont indiquées comme HORS SUJET. Si cette FAQ ne suffit pas à résoudre vos problèmes sur ces questions là, voici une liste de ressources appropriées selon le type de question :

[Retour à la liste des réponses]

Problèmes avec un hébergeur :


Avant tout, le support technique de cet hébergeur !!

[Retour à la liste des réponses]

Référence HTML

Norme 4.0 du W3C : http://www.w3.org/TR/REC-html40/
All Html (en français) : http://www.allhtml.com/

[Retour à la liste des réponses]

Problèmes avec du SQL, MySQL, Postgres, Oracle, Sybase, etc... :
 
Un newsgroup en français : fr.comp.applications.sgbd
http://www.mysql.org/doc.html

[Retour à la liste des réponses]

Autres ressources et aide sur PHP


[Retour à la liste des réponses]

Points juridiques

Autorisation est donnée à quiconque le souhaite de faire du "framing" pour afficher cette FAQ ou de la recopier et de la diffuser sans la modifier.
N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d'une autorisation pour en citer des parties.
La totalité des informations contenues dans cette FAQ est disponible sur internet et considérée comme de notoriété publique.
Tous les noms de produits et autres marques cités dans cette FAQ sont des marques déposées par leurs propriétaires respectifs.
L'intégralité du code cité est le fruit de la rédaction des auteurs de cette FAQ, tiré de code diffusé publiquement sur des forums de discussion ou avec autorisation de l'auteur.

[Retour à la liste des réponses]